• Geisha

    Introduction

    Les geishas sont des artistes professionnelles : la connaissance des arts traditionnels, une repartie verbale brillante et la capacité de garder un secret leur permettent de gagner le respect et parfois l'amour de leur client nantis, et souvent influents. Cette profession, qui remonte au XVIIe siècle, est actuellement en déclin. Elle est ternie par les activités d'hotesses offrant des services sexuels plutôt classiques. La fière geisha de Kyoto préfère être appelée geiko (enfant des arts). Moins confirmée, que sa "soeur". la maiko, apprentie geisha, n'existe qu'a Kyoto. Il existe quatre enclaves de ces artistes : Gion-kohu, Pontocho, Miyagawacho et Kamishichi-ken ; des spectacles de danse y sont organisés au printemps et â l'automne ; en dehors de ces manifestations, on ne peut admirer l'art des geishas qu'en privé, dans un ryotel une ochaya ou un ryokan (restaurant, maison de thé ou auberge).

    Le costume de la maiko

    L'art des geishas n'est enseigné qu'à Kyoto. Les jeunes femmes portent une coiffure distinctive et un costume particulier - un long obi (large ceinture) aux extrémités pendantes, de grandes socques (koppori). et un sous-kimono au col brodé. Lorsqu'elles deviennent des geiko a part entière, elles échangent leur col brodé pour un col blanc.




    Shamisen

     shamisen instrument de musique des geisha 

    Shamisen, instrument de musique Le monde des geishas vit au rythme du shamisen, instrument à trois cordes originaire d'okinawa. Les geishas qui ne sont pas dans la danse jouent du shamisen ou d'un autre instrument. Les talents de geishas confirmées inscitent l'admiration.



     

    Umegiku

     Umegiku geisha avec son eventail 

    Maintient et tenue parfaits caractérisent Umegiku de kamishichi-ken qui éxecute ses figures de danse à l'aide d'un éventail lors d'occasions plus formelles elle peint son visage.



     

    Obi

     Obi ceinture geisha 

    Obi ceinture épaisse porté à la taille par les geishas, les geiko et maiko. Elle permet de tenir le kimono, la plupart des obi sont faits de soie. La ceinture épaisse se noue dans le dos, le noeud montre l'age et le 'rang' de la geisha. Les noeuds du obi et le kimono de la geisha sont difficile à mettre. Les ceintures obi ainsi que le kimono sont de tailles unique et demande donc une grande dextérité pour pouvoir les retrousser a sa guise (selon la taille de la geisha).



    Pontocho

     ruelle de pontocho ochaya 

    Pontocho abrite nombre d'ochaya (maison de thé) ou les artistes sont réservées par des clients prestigieux à qui elles consacrent leurs différents arts.


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  • Les Bonzai

    Introduction - Définition

    Née en chine il y a une quinzaine de siècles, puis introduite au japon par des moines bouddhistes zen, la culture du bonzai ("plante dans un pot" en japonais) représente aujourd'hui une distraction très prisée en Occident. Faisant appel à la sensabilité et au sens mais aussi à la patience, car les plus beaux spécimens sont le fruit d'un travail de longue haleine, l'art du Banzai demande des soins simple, mais quotidiens qu'il est nécessaire de bien connaître.


     

    L'art japonais du bonzai

    Bonzai

    En dépit de sa consonance exotique, le vocable « bonsaï » désigne simplement des arbres nains cultivés dans de petits pots. A la différence des variétés d'arbres génétiquement nanifiés dont la taille reste petite sans Intervention du jardinier, les bonsaïs sont des répliques minuscules de leurs frères des forêts et des Jardins. Ce sont des miniatures obtenues au terme d'un patient travail qui demande beaucoup d'adresse et s'étend sur plusieurs années. Contrairement à une idée très répandue, la culture des bonsaïs n'a rien d'ésotérique et l'on n'est pas forcément un tortionnaire dans l'âme si l'on consacre une part de ses loisirs à cultiver ces petits arbres. D'acception large — le terme signifiant « plante dans un pot » en japonais —, le bonsaï ne peut être obtenu qu'à force de soins attentifs qui ne diffèrent d'ailleurs pas de ceux réclamés par toute pratique du jardinage, à savoir la taille et le rempotage.

    Le contexte

    Cependant une reproduction fidèle à petite échelle de n'importe quel arbre définit mal l'esprit et le sens du bonsaï qui consiste à recréer, dans un pot, une vivante image de la nature. Les bonsaïs sont en fait des formes stylisées d'arbres à l'état sauvage. Les relations entre la plante et son conteneur sont primordiales pour créer une impression d'unité. En effet, l'intérêt du bonsaï ne réside pas uniquement dans son feuillage ou dans sa floraison éclatante, mais aussi et surtout dans le tableau que forment la plante et le pot dans lequel elle aura été mise en place.

    Une alliance

    Enfin, pour mériter son nom, un bonsaï réussi doit associer en un tout harmonieux les effets du tronc, des branches, du feuillage, des fleurs et des fruits. Un genévrier nain au tronc tordu et aux branches travaillées, une minuscule azalée en pleine floraison, un érable bonsaï couvert en automne de feuilles multicolores, tous présentent sous une forme réduite et attrayante de la beauté des arbres dans leur environnement. Ni l'âge, ni le coût, ou le degré de miniaturisation des bonsaïs ne détermine sa qualité. Le terme bonsaï s'applique aussi bien à de minuscules sujets appelés « marne » bonsaïs (miniatures), qui mesurent moins de 15 cm de hauteur, qu'à des sujets vraiment grands qui peuvent dépasser 90 cm.

    Un travail de long terme

    Mais ces derniers demanderont de nombreuses années avant d'atteindre leur pleine maturité, alors qu'un "même" bonsai peut être ravissant au bout de trois ans, et un arbre de taille moyenne, 50 cm environ et de croissance rapide devrait donner un bonsaï tout â fart acceptable dès sa dixième année de formation.

    Comment obtenir son bonzaï?

    On peut obtenir des bonsaïs de plusieurs façons : soit en les cultivant à partir de graines, soit par bouturage ou en ayant recours au greffage. Une autre solution, à la portée de tout débutant, consiste à les prélever directement dans la nature. Si le semis demande beaucoup de patience, le travail sur un plan sauvage permet d'obtenir de bons résultats en un temps relativement court.

    Choix estéthiques

    Dans le choix d'un futur bonsaï, il ne faut pas rejeter systématiquement tout sujet qui, pris isolément, présente peu d'intérêt. Même un pin peu formé peut être du meilleur effet, soit groupé avec d'autres dans une caissette peu profonde, soit en prenant place dans une scène de jardin japonais miniature. Ces jardins, très différents de ceux que l'on obtient dans des bacs profonds ou des éviers de pierre, résultent d'un jeu habile de perspectives, associé â une extrême simplicité du dessin. En plaçant judicieusement un conifère ou un arbre courbé dans un ensemble composé de belles pierres, de sable et de mousse, on peut recréer, dans un très petit espace, un paysage naturel. Ainsi, de jeunes arbres plantés en nombre suffisant sur un large plateau ovale permettent de dissimuler la jeunesse des plants — qui serait trop évidente dans le cas d'un sujet isolé —, tout en formant un charmant tableau sylvestre.
    Les néophytes qui craignent de manquer de sens artistique ne doivent pas se laisser décourager à la pensée des exigences esthétiques requises par le bonsaï. Un fleuriste professionnel saisira évidemment plus facilement les relations fondamentales qui existent entre formes, proportions et teintes des bonsaïs, mais chacun peut découvrir celles-ci en observant les arbres qui poussent dans les parcs, les jardins et à la campagne. Que l'on soit un fidèle disciple du jardinage ou un adepte des arts décoratifs, travailler sur les bonsaïs est enrichissant et enthousiasmant pour tous.

    Comment tailler ?

    Néanmoins, cette activité n'est pas sans soulever des problèmes dus surtout au manque d'expérience. On prend souvent les bonsaïs pour des plantes d'intérieur parce qu'ils sont petits. En fait, ils n'en sont pas, et il convient dès lors de les maintenir dans leurs conditions naturelles de développement. Par conséquent, si les arbres qui prospèrent sous un climat tropical peuvent faire des bonsaïs que l'on conservera aisément à l'Intérieur, comme des plantes d'appartement la majorité des bonsaïs sous un climat tempéra se prêtent à une culture extérieure et sont tout à fait â leur aise dans le Jardin ou sur la terrasse quelles que soient les Intempéries. Les bonsaïs à feuillage persistant ont une période de semidormance et les espèces à feuilles caduques perdent leurs feuilles à l'automne. Ces faits, bien aue naturels, sont souvent mal interprétés par certains propriétaires qui, voyant là des signes alarmants, s'empressent de rentrer leurs plantes dès les premiers froids, les livrant ainsi, et bien malgré eux, à la mort par excès de chaleur. Trop d'eau ou d'engrais peut également être fatal â la plante et iI faut parfois plusieurs années d'efforts pour corriger un coup trop preste de sécateur.
    La prudence est donc de règle.

    Une passion

    Ces déconvenues d'ailleurs évitables sont plus que compensées par le plaisir procuré par la culture des bonsaïs. La passion pour les arbres nains s'accompagnent souvent d'une meilleure connaissance de la nature, on est surpris et heureux de se découvrir un autre regard pour les végétaux que l'on peut rencontrer en milieu urbain ou rural. Il en résulte une prise de conscience accrue de tous les aspects du paysage. La culture d'arbres miniatures est aussi une activité aux vertus calmantes et relaxantes. Ainsi, par ses différentes vertus, par les connaissances qu'elle met en jeu et porte en elle, par les satisfaction esthétiques qu'elle engendre (forme des arbres, texture de l'écorce, teinte et parfum des fleurs et du feuillage), tout parle en faveur de cette culture considérée comme un art vivant au Japon et qui heureusement fascine de plus en plus les Occidentaux.

    Le bonzai au jour le jour

    Il n'y a donc pas de difficultés ? Très peu, sinon celles couramment rencontrées dans les travaux horticoles habituels comme le rempotage, la taille, la fertilisation, l'arrosage... Un préalable cependant : la culture des bonsaïs ne convient pas à ceux qui ne voudraient consacrer que quelques minutes par Jour à leur "marotte" . Cette culture exige de grandes qualités d'attention et de soin ainsi qu'un esprit toujours en éveil pour découvrir ce qui convient le mieux à l'arbre. En résumé, soyez prêt à ailler une sévère autodiscipline et un solide bon sens & une imagination sans bornes.

    L'équilibre

    Le plus Importent est de trouver un équilibre. Un bonsaï peut parfois donner des résultats moins bons que ceux espérés, aussi sera-t-il judicieux de le laisser de côté pendant quelques mois en attendant qu'une nouvelle croissance vienne offrir d'autres possibilités. Consultez le plus souvent possible les livres spécialisés mais gardez l'esprit ouvert : les bonsaïs les plus réussis ne sont pas nécessairement ceux qui correspondent à des critères bien établis. Respectez les directives des maîtres japonais sans toutefois vous laisser enfermer dans des règles par trop rigides qui seraient autant de freins.

    Avec ces principes simples, vous tirerez satisfaction et enrichissement d'une activité de loisir d'accès facile et pas forcément coûteuse.

      


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  • Les Jardins Japonais

    Les jardins zen, un art !

    Le jardin japonais est une tradition courante au japon, il existe différents types de jardins et différents lieux dans lesquels nous pouvons, ou non se promener.
    On pourra retrouver ces jardins classés au patrimoine historique du pays, dans différents temples, sanctuaires mais aussi simplement en tant que parc public ou jardin privé.
    Cet espace (privé ou public) est un lieu de détente, où la plupart des japonais viennent se libérer l'esprit. Comme dans beaucoup de lieux japonais celui ci permet une cassure avec le réel, on entre alors dans un cycle de méditation et/ou de réflexion plus ou moins poussée.

    L'aménagement; l'agencement; l'envergure; les types de plantes; la taille, la couleur et l'emplacement des rochers; les petites étendues d'eau... Rien est pris au hasard et la plupart de ces choix sont faits selon les règles de l'art. Le design du jardin est beaucoup réfléchi avant d'être créé. Grace à différents objets et différentes plantes un univers un peu spécial est alors mis en vie.

    La symbolique du jardin est encore plus importante que le jardin lui même. La plupart des agencements de chacune des parties du jardin peut être vue symboliquement.


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  • Haiku et son ancêtre, Tanka


    Définition / Détails

    Le haïku est un bref poème Japonais, à la métrique rigoureusement fixée, trois vers de cinq, sept puis cinq syllabes, apparaît en tant que forme indépendante au XVIe siècle.
    Il existe depuis le VIIIe siècle dans les premiers tankas, poème court japonais de cinq vers de cinq, sept, cinq, sept et sept syllabes. L'une des plus importantes anthologie de la poésie Japonaise, le Man'yoshu, est presque exclusivement composé de tankas. Ils expriment des thèmes qui feront plus tard le succès du Haïku : élégie composé en l'honneur de souverains, poèmes chantant l'amour ou la beauté d'une femme.

    En s'enracinant cette forme de poésie pratiquée à la cour devint un symbole social, et perdit sa fraîcheur pour se figer dans des artifices rhétoriques. La poésie se renouvela dans les plaisanteries populaires ou le haiku trouve son origine.
    Le moine zen Basho (1644 - 1694) isola les trois premiers vers du tankas pour en faire une forme autonome, parvenant à associer morale et esthétique : la contemplation, la méditation et la fusion avec la nature. Il inaugura ainsi une lignée de grand poètes, Kikaru Takaraï, Buson Yosa, ou encore le peintre poète Issa Kobayashi qui perpétuèrent les valeurs attachées à cette poésie.

    Toujours pratiqués par des millions de Japonais, le haiku, plus qu'un genre poétique, est une culture vivante du Japon, même si la poésie la plus novatrice s'en est écartée, souvent de façon définitive.


    Exemple d'haiku en français

    Un papillon jaune
    S'assoie sur un bouton d'or
    Le vent souffle doucement


    Herbe d'été flétrie
    tout ce qui reste
    du rêve de guerriers


    Heureux celui qui
    Fier dressé a su périr
    En pareille beauté.


    Dans ce monde de rêves
    Je cultive des oignons
    Solitude


    Nuit d'aout
    Une étoile tire un trait
    Jusqu'à la mer


    Jour de paresse
    Comptant sur un coup de vent
    Pour tourner ma page

      


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  • Ikebana (生花 - いけばな) - Art floral Japonais


    Introduction et définition


    Ikebana, formé du verbe japonais hikeru, signifiant "faire vivre", et du mot hana, "les fleurs". L'ikebana est l'art de l'arrangement floral japonais. Connu aussi sous le nom de Ka-dô (la voie des fleurs - 華道) ayant pour but de redonner vie à un bouquet.

    L'art floral, consiste à créer une construction artistique harmonieuse. Il joue avec les principes Yin Yang en variant les formes et les couleurs. Le but de l'ikebana est de mettre en valeur chacune des parties constituant le bouquet. On valorisera donc artistiquement les tiges, les feuilles, le fond, les fleurs, et le vase de cette composition.

    Un grand symbolisme est associé à l'ikebana, beaucoup d'arrangements sont faits dans le respect de l'art. La plupart de ces dispositions ont un sens. On associe par exemple la profondeur, l'espace et l'asymétrie d'un bouquet au ciel, à la terre et à l'humanité.

    Les artistes d'ikebana ne prennent donc pas leurs arrangements à la légère, ils ont pour chacun une signification précise, plus qu'une beauté apparente. La beauté se transmet dans le message que l'artiste veut nous adresser.

    Par exemple: le bourgeon ou le bouton désigne le futur; la fleur ouverte veut faire ressentir une idée d'épanouissement; le bambou symbolise la prosperité; les chrysanthèmes peuvent faire références aux rivières et aux fleuves...


    Les origines et l'évolution de l'ikebana

    L'ikebana est né autour du VIème siecle, amené vraisemblablement de Chine et/ou de Corée il finira son voyage au japon grâce à l'influence bouddhiste.
    Le bouquet sert au départ comme offrande aux temples, il est réalisé dans des dynamiques verticales. Ce premier type d'ikebana sera appelé par la suite le Tatebana (du mot japonais tate signifiant "debout" et hana "les fleurs").
    A cette époque, les principes de base étaient constitués par les préceptes religieux, on pouvait ainsi évoquer à travers un bouquet : les notions d'éphémère et d'éternité, l'harmonie entre l'homme et la nature, ainsi que le concept d'homme et de femme. Lors des réalisations confectionnées par les moines, le moindre des détails du bouquet avait son importance.

    Au Xème siècle, l'esthétisme et la beauté des compositions florales s'accentuent au détriment du symbolisme des bouquets. On voit alors de plus en plus de beaux et gros bouquets.
    Les artistes sont encore très peu nombreux et cet art n'est pas encore à la portée de tous.

    Au XIIème siècle l'art d'ikebana est encore vulgarisé, il continue à perdre de sa symbolique. Durant ce siècle un nouveau courant nait alors, celui ci est appelé Rikka. Ce style d'ikebana peut être reconnu grâce à sa forme particulière, les compositions Rikka forment un ensemble triangulaire; la plus haute tige symbolise le ciel. De nombreuses conditions sont encore présentes lors du courant Rikka, le vase doit par exemple être du quart de la taille finale de la composition. Le maitre Senkei instaure les principes fondamentaux de ce mouvement. Ce courant de moins en moins pratiqué de nos jours, est la forme antique de l'arrangement floral Japonais.

    Le XVème et XVIème siècle fut une époque importante pour l'histoire de l'ikebana, il finit de se démocratiser. Ainsi il n'était plus uniquement présent, dans les temples mais servait aussi pour les cérémonies et événements particuliers. Des traités apparaissent à cet époque, comme le Senno Kudden avec le concept de paysage complet.

    Le style Nageire surgit alors, un style simple et sobre. Cette simplicité, n'est plus représentée avec un bouquet mais trés souvent avec une fleur, dans un vase en terre cuite.

    Par la suite autour du XIXème siècle l'art de l'ikebana s'ouvre et tout type de composition est ensuite acceptée.

    Avec la cérémonie du thé et la calligraphie l'ikebana est un art que les femmes étudiaient traditionnellement, en vue du mariage.
    L'ikebana fait partie de l'art traditionel du japon, il s'enseigne encore de nos jours, et caractérise la culture et l'art japonais.

    Imprégné de l'origine et de l'histoire de l'ikebana, les artistes contemporains, révèlent toute leur créativité, s'inscrivant ou non dans l'un des moules de la tradition. Leur disposition dans cet arrangement fonde leur style.

      

      


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